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Depuis le 1er janvier 2019, suite à la 6e réforme de l’État, les compétences liées aux initiatives d’habitation protégée relèvent entièrement des entités fédérées. Voici les organismes auxquels vous adresser à ce sujet.

Les patients hospitalisés en raison d’une affection cardiaque, peuvent se rendre dans un centre spécialisé en rééducation cardiaque. La mutualité intervient dans les coûts.

Un jeune patient qui présente certaines pathologies chroniques, une obésité morbide ou des séquelles de maltraitance peut recevoir des soins adaptés dans un centre de rééducation pédiatrique.

Les centres de diagnostic multidisciplinaires pour le SFC (Syndrome de fatigue chronique) sont des services hospitaliers spécialisés qui examinent si quelqu’un présente le SFC et proposent un traitement.

Aperçu des remboursement pour les soins dans des centres spécialisés pour certaines maladies et pour un nombre d'accompagnements (de rééducation) spécifiques.

Aperçu des circulaires pour les initiatives d'habitation protégée psychiatrique

Aperçu des formulaires pour les initiatives d'habitation protégée psychiatrique

La 6e réforme de l’État a transféré les compétences liées aux initiatives d’habitation protégée du fédéral aux entités fédérées.

Aperçu des circulaires pour les centres spécialisés et centres de rééducation

Aperçu des formulaires pour les centres spécialisés et centres de rééducation

Le patient doit généralement payer une part personnelle (un « ticket modérateur ») pour les prestations dont il bénéficie dans le cadre d’une convention de rééducation fonctionnelle.

Le centre accompagne des patients déficients auditifs et des enfants ayant des parents déficients auditifs. Il peut confirmer ou diagnostiquer la déficience et dispenser des soins ambulatoires pour développer les facultés de communication des patients.

Un patient avec une déficience visuelle (basse vision ou cécité) peut recevoir une rééducation dans un centre spécialisé. Il y apprend des aptitudes de base, pour être autonome dans sa vie quotidienne. La mutualité peut intervenir dans les coûts.

Des centres spécialisés (centres de référence) peuvent suivre des patients porteurs du VIH, atteints du SIDA ou les enfants séronégatifs nés de mère séropositive. L’assurance soins de santé (via la mutualité) peut intervenir financièrement dans ce suivi.

Les patients souffrant d'une forme grave de lymphœdème qui nécessite de nombreux soins, peuvent suivre un traitement de nature « conservatrice » dans un centre spécialisé, à savoir de la physiothérapie avec un recours minimal aux opérations.

Les patients adultes qui souffrent de diabète peuvent être suivis dans un centre spécialisé. La mutualité peut intervenir dans les coûts. L’assurance soins de santé (via la mutualité) peut intervenir financièrement dans ce programme.

Des centres spécialisés peuvent suivre des enfants et des adolescents qui souffrent de diabète. L’assurance soins de santé (via la mutualité) peut intervenir financièrement dans ce programme.

Des centres spécialisés suivent des patients diabétiques sous pompe à insuline portable à domicile. But : atteindre un taux de sucre dans le sang normal, éviter/ralentir les complications liées au diabète. La mutualité peut intervenir dans les coûts.

Des centres spécialisés peuvent suivre des patients atteints de maladies métaboliques monogéniques héréditaires rares. Ils apprennent à gérer traitement, leur régime alimentaire et conséquences de leur maladie. La mutualité peut intervenir financièrement.

Les patients qui souffrent de mucoviscidose peuvent s’adresser à un centre spécialisé pour la mucoviscidose (centre de référence). Différents spécialistes sont à leur disposition. La mutualité intervient dans les frais.