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Activités principales du Service des indemnités en 2016
En quelques chiffres clés, nous montrons la manière dont notre Service des indemnités répond à l'augmentation du nombre de personnes en incapacité de travail. À la lumière d’initiatives prises en matière de réinsertion, nous présentons aussi le rôle joué sur la scène de l’incapacité de travail par le Centre d’expertise, qui fait partie de notre service.

Antirétroviraux contre le VIH : un traitement remboursé dès le diagnostic et mieux encadré
2016 est l’année d’une importante révision des conditions de remboursement des antirétroviraux utilisés pour traiter le virus du sida (VIH) : depuis le 1er décembre 2016, l’assurance soins de santé rembourse les traitements antirétroviraux dès que le diagnostic de séropositivité est posé.

Collaborer en interne et en externe, pour améliorer les pratiques des mutualités
Collaborer : un mot clé en 2016, entre autres pour notre Service du contrôle administratif (SCA). Sa collaboration étroite avec nos autres services internes et avec nos partenaires externes, a porté ses fruits dans plusieurs domaines : un contrôle thématique réalisé dans le secteur des indemnités d’incapacité de travail, le croisement de données, ou encore le nouveau système pour évaluer la gestion financière des O.A.

IDES, la nouvelle application informatique de notre Service des indemnités
L’application IDES (Invalidity data for Electronic System) est entrée en production le 28 novembre 2016. Elle permet de traiter de manière automatisée tous les dossiers d’invalidité des assurés sociaux initiés par les organismes assureurs.

Reconstruction mammaire par tissus autologues : mieux remboursée via convention
Les patientes qui ont subi une mastectomie suite à un cancer ou à titre préventif peuvent désormais bénéficier d'un meilleur remboursement de la reconstruction mammaire par tissus autologues si cette reconstruction est réalisée dans un hôpital qui a conclu une convention avec l'INAMI.
La convention prévoit aussi une plus grande transparence des coûts pouvant être attestés, et plusieurs exigences de la qualité des soins.
Les suppléments d'esthétique sont interdits et la part des coûts à charge de la patiente (ticket modérateur) diminue.