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Travailler en tant que diététicien spécialiste dans le cadre du trajet de soins multidisciplinaires pour les troubles de l’alimentation
Si un médecin traitant commence un trajet de soins pour les troubles de l’alimentation chez un patient jusqu’à 23 ans inclus, vous pouvez coopérer en tant que diététicien spécialisé dans ce processus de soins. Dans ce contexte, le patient a droit à quinze séances de soins diététiques par an.
Au 1er décembre, les enfants souffrant d'obésité bénéficieront de soins multidisciplinaires personnalisés et remboursés
En Belgique, environ 5,8 % des enfants de 2 à 17 ans sont considérés comme obèses. Cette maladie impacte durement leur qualité de vie actuelle mais aussi future. Elle constitue une interaction complexe de facteurs physiques, sociaux et psychologiques. C'est pourquoi nous lançons ce 1er décembre 2023 un trajet de soins multidisciplinaire.
Lors de ce « trajet de soins obésité infantile », les enfants recevront un plan de traitement individuel qui mobilisera des dispensateurs de soins de différentes disciplines : pédiatre, diététicien, psychologue, kinésithérapeute, etc. Chaque enfant et son entourage pourront ainsi être accompagnés de la meilleure façon possible. Pour mener à bien ce défi, l’INAMI libère un budget de 11 millions d'euros.
Le 1er février 2023, nous supprimons certaines mesures COVID-19
Maintenant que la pandémie est davantage sous contrôle, certaines mesures ne sont plus pertinentes et nous les supprimons donc le 1er février.
Accord dento-mutualiste 2022-2023 : Meilleure accessibilité pour les patients et poursuite de l’innovation
Le 20 décembre 2021, la Commission nationale dento-mutualiste a conclu un accord pour les années 2022-2023. Plusieurs mesures portent sur l’accessibilité financière des soins dentaires. D’autres mettent en lumière et valorisent le travail réalisé par les dentistes durant la crise Covid. Enfin, nous poursuivons le projet d’intégration des hygiénistes bucco-dentaires dans les soins dentaires.
Accord national médicomut : Feu vert pour des réformes dans les soins médicaux en 2022-2023
C’est noté : ce 21 décembre, l’INAMI a obtenu le fameux « accord médicomut » conclu par les médecins et les mutualités, pour 2 ans et à l’unanimité ! Il en ressort des engagements cruciaux pour l’accessibilité des patients aux soins de santé en Belgique, mais aussi pour la qualité et l’organisation de ces soins.
Les accords médico-mutualistes constituent une sécurité pour le patient et confère de la stabilité au système en fixant bien sûr les tarifs des médecins « conventionnés ». Mais l’accord n’est pas une simple histoire d’argent : c’est aussi une série de mesures concrètes pour améliorer toute l’organisation des soins, des réformes qui garderont notre système de santé à flot, de façon durable. Et en particulier dans un contexte de crise…
Cet accord 2022-2023 avance donc un agenda rempli de perspectives : poursuivre le développement encadré de la télémédecine, renforcer les défenses de notre système de santé face aux crises sanitaires, moderniser la nomenclature des prestation de santé, etc.
Voici ce qui change pour les patients, pour les médecins, pour les mutualité, et pour nous.
Sécurité tarifaire et accessibilité des soins - L’Accord médico-mutualiste pour 2021
La Commission nationale médico-mutualiste (CNMM) a conclu un accord pour 2021. Les médecins et les organismes assureurs y concluent des accords cruciaux pour l'année à venir, notamment sur les tarifs que les médecins peuvent facturer à leurs patients. La part personnelle à charge du patient (ticket modérateur) reste globalement inchangée.
Cet accord comprend 8,891 milliards d’euros, à majorer d’un montant de 358,279 millions d’euros pour les honoraires dans le cadre des soins à basse variabilité. Ces montants sont de 3,58 % supérieurs aux montants prévus pour 2020.
Nous vous présentons ci-dessous quelques accents et projets de l’accord.
Appel à la 1re ligne pour créer des « points de soins », premier accueil médical et psychosocial pour les réfugiés ukrainiens
La Belgique est l'un des pays accueillant les réfugiés Ukrainiens qui fuient la guerre. L’accueil médical et psychosocial initial de ces personnes, qui se trouvent dans une situation particulière et précaire, constitue une grande préoccupation.
Ils peuvent passer par les soins réguliers pour recevoir une aide médicale (urgente), mais l'accueil de ce groupe spécifique nécessite des efforts particuliers de la part des dispensateurs de soins pour accueillir et familiariser ce groupe avec le système de soins de santé belge.
Via un formulaire, les organisations de première ligne peuvent désormais demander de créer des points de soins réservés à l’accueil médical et psychosocial des réfugiés ukrainiens en Belgique. Ceci s’appuiera sur une convention de maximum 9 mois entre les points de soins et l'INAMI.